Histoire de changer un peu, je ne partirai pas d'une réflexion née de la journée de campagne (même si, entre les réponses à donner aux camarades qui me sollicitent sur des dossiers qui relèvent de matières que je suis pour le groupe socialiste à la Chambre, le porte à porte de cet après midi dans le haut de Koekelberg, l'exposition photo de Yasmina Mechenouai à Ixelles et une rencontre avec les militants de la section bruxelloise du Labour Party britannique, je pourrais...)
Non, cette fois-ci, j'anticipe un peu sur la journée de demain : au menu, à coté d'une grosse distribution, je prendrai part à une journée de travail de la Coordination Nationale d'Action pour la Paix et la Démocratie (CNAPD pour les intimes dont vous faites désormais partie, amis lecteurs). Journée dédiée à l'inscription dans le territoire des discriminations sociales de tout ordre, qui abordera entre autres la question du logement.
La CNAPD, je l'ai présidée pendant un moment. J'y ai mené des combats indissociables du socialisme tel que je le conçois.
Je ne suis pas le seul dans le cas. Nous sommes 4 anciens présidents de cette plateforme sur les listes PS. Pour résumer ce que représente encore aujourd'hui notre engagement à sa tête, nous avons d'ailleurs fait le petit tract électronique commun que je vous livre ci-dessous. N'hésitez pas à faire tourner!
" Nous avons eu la chance d’assumer d’importantes responsabilités dans le mouvement de la paix. Nous avons eu la confiance des diverses composantes de la CNAPD, une plate-forme pluraliste active dans différents champs de la paix et de la citoyenneté, pour y exercer la fonction de président. Cet engagement a constitué l’une des périodes les plus enrichissantes de notre parcours militant a tous les quatre.
Aujourd’hui, nous gardons encore bien ancrées en nous les convictions généreuses qui se sont façonnées et fortifiés tout au long de notre investissement dans cette organisation. Engagés à présent dans une campagne électorale, c’est tout naturellement que nous porterons les idéaux de paix et de démocratie et qu’humblement nous tenterons de les mettre à l’agenda politique."